•  

     

     

    Cinéma, Cinémas...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    session "Street 7eme Art" au Lavo/matik

  • Les cadavres ne portent pas de costards...

     

    La prochaine séance du Cinéma Eden va commencer. Prenez votre billet!

    Dans la salle, comme au bon vieux temps, un grand rideau constellé d'images de cinéma occulte l'écran.

    Ce ne sont pas comme dans les autres cinémas les pubs des commerçants du quartier et des promos pour frigidaires, mais bien les clichés cinéma de l'artiste Spray Yarps.
    Tout en haut, au milieu du rideau la figure tutélaire : Dirty Harry avec son 44 Magnum (il rassemble pour l'artiste l'archétype de la mythologie américaine (Super Clint) et son amour immodéré pour la musique (Lalo Schifrin).

    Autour de Clint se déploient ses porte flingues attitrés : Humphrey Bogart dans "le grand sommeil", Michael Caine dans "Get Carter" , Al Capone, sans oublier l'appui des "bombshells" mitraillette : Jane Russell en couverture de Paris Hollywood, Ann Margret au gun sur le tournage de "Viva Las Vegas" et surtout Holy Marilyn à la pétoire détonante qui va faire des malheurs.

    On remarquera tout en bas du rideau Catwoman(Halle Berry)à côté de l'inquiétant Robert Mitchum de "la nuit du chasseur" de Charles Laughton : Love & Hate ! Tout un programme observé au téléobjectif par James Stewart, depuis sa "Fenêtre sur cour"...

    Enfin, de part et d'autre de ces références américaines, d'autres icônes composites issues de diverses cinématographies : Bruce Lee dans "opération dragon" , le chien Baxter (in dog we trust), BB dans "le mépris", Belmondo et Jean Seberg dans la dernière séquence d'"A bout de souffle": "c'est vraiment dégueulasse!"...

    Mais chut !! Le rideau s'ouvre et le film démarre A toute vitesse.

     

    Claude Degoutte

  • Dirty Harry

  • Make my Spray

    broken image

    Introduction au Chapitre "Cinéma(s)"

    Je suis un grand fan de Clint Eastwood, en tant que réalisateur et acteur, notamment pour son personnage de l’inspecteur Harry.
    L'affiche de Dirty Harry m'a tout de suite parlé et j'ai découpé mon premier pochoir qui en reprenait le visuel en 1992 ou 1993, souvent en le sous-titrant du mot « punk » en référence à l'une des répliques cultes du film...
    Ce n'est qu'en août 2012, à l'occasion de l'expo « Dirty Harry voli », que j'ai organisée rue de Rivoli, que j'ai mis une bombe à la place du .44 Magnum : la bombe aérosol est pour moi aussi une arme de destruction massive... Et puis cela collait bien avec ma signature : « Spray Yarps », Spray étant Yarps à l'envers ! Depuis, c'est devenu un peu mon pochoir fétiche.
    Lors de cette exposition, je n'avais pas imposé aux artistes une référence précise à Clint, mais par contre, quand je l'ai rééditée en juillet 2015, plus d'une trentaineont joué le jeu de la référence cinématographique.
    En ce qui concerne cette photo prise aux Frigos en juin 2014, lors d'une jam avec tous mes potes, on peut voir l'ensemble de la session dans la vidéo Couleurs sur
    Paris.

  • broken image

    La dernière séance de Catwoman

  • broken image

    A bout de Souffle / Film in Situ#1

    Idée : realiser des pochoirs de scenes mythiques de cinema

    a l'endroit meme ou le film a ete tourne